La réouverture de l’Orangerie…
n’est pas seulement le fruit d’une décision administrative post-confinement. Elle marque une nouvelle présentation des œuvres dans des espaces rénovés. Enfin l’occasion, à travers la collection de peintures de Paul Guillaume et Domenica Walter, de revisiter les premières œuvres (et leurs auteurs !) qui ont déconstruit le Réel pour ouvrir à l’infini de nouveaux territoires d’expression plastique sans lesquels mes propres peintures ne seraient évidemment pas ce qu’elles sont… Bien sûr, revoir les nymphéas de Claude Monet et, comme en écho graphique, se délecter de l’arrivée dans la collection du grand polyptyque expressionniste abstrait de Joan Mitchell : The Good-bye Door…
Paul Guillaume par Amedeo Modigliani
Picasso, Femme au tambourin